Accueil > Vie pratique Mayotte

DÉCALAGE HORAIRE

GMT +3. Le décalage horaire est + 2 h en hiver et + 1 h en été.
Exemple : En hiver, lorsqu'il est 7 h du matin à Paris, il est 9 h à Dzaoudzi.

TÉLÉPHONE

Pour joindre le territoire : composer le 02.69 (+ 6 chiffres).

MONNAIE

Depuis le 1er janvier 1999, la monnaie légale est l’euro.

L'euro remplacera le franc dans les mêmes conditions qu'en métropole le 1er janvier 2002.

ÉLECTRICITÉ

220 volts - prises françaises.

ENSEIGNEMENT

Le Français est la langue officielle. Les habitants parlent également le Shimaoré et le Shibushi.

L'enseignement relève principalement du secteur public. A la rentrée 1997, Mayotte comptait près de 43 200 élèves scolarisés soit : 30 344 élèves dans les écoles maternelles et primaires 10 616 élèves dans le second degré, répartis dans sept collèges et un lycée. 2 232 élèves dans l'enseignement professionnel (comprenant les classes pré-professionnelles (sortie du primaire) et les lycées professionnels).

SANTÉ

La réforme du système de santé (ordonnance du 20 décembre 1996) a érigé l’hôpital de Mayotte en établissement public de santé disposant de l’autonomie administrative et financière.

L’Agence régionale d’Hospitalisation de la Réunion exercera les missions de contrôle et de tutelle sur l’hôpital. Pour aider à financer le fonctionnement du nouvel établissement hospitalier, construit à Mamoudzou selon les normes les plus modernes, l’ordonnance a institué une cotisation de 2 % à la Caisse de Prévoyance Sociale, prélevée sur tous les revenus.

Le revenu de cette cotisation s’ajoute au financement par l’assurance-maladie (70 %) et aux contributions de la Collectivité Territoriale (15 %) et de l’Etat (15 %).

La protection sociale à Mayotte relève de la compétence de la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS), qui est chargée du recouvrement des cotisations de ses affiliés, du versement des prestations sociales.

La population résidente à Mayotte bénéficie de la gratuité des dépenses de santé, à savoir des médicaments et des soins dispensés au sein des hôpitaux et dispensaires de la Collectivité territoriale.

Les soins extra-hospitaliers sont assurés par des médecins dépendant de la DASS qui ont chacun en charge un des six secteurs géographiques où sont implantés des dispensaires. Le secteur rural dispose actuellement de 19 dispensaires et 13 maternités.

Les soins préventifs et curatifs sont gratuits. Aucune maladie tropicale n'est à signaler dans l'archipel et aucune vaccination n'est exigée pour entrer sur le territoire.

Néanmoins, il est conseillé de suivre à titre préventif un traitement antipaludéen, de se protéger contre les piqûres de moustique et la diarrhée du voyageur.

SOCIAL

La sécurité sociale s'applique comme en métropole en matière d'assurance maladie, d'accidents du travail et d'assurance vieillesse. La couverture sociale est la même que dans un département métropolitain.

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